Premier, second, troisième en pire...
De la première République, et après moulte péripéties, naquit la folie des grandeurs d'un petit homme qui se coiffa lui-même de la couronne du Premier Empire.
De la seconde République, et après moulte péripéries, naquit le second avec Napoléon III.
A force de parler de monarchie républicaine à propos de l'état dans lequel Sarkozy et ses prédécesseurs ont mis la république, cinquième du nom, est-on vraiment si loin des fastes, des guerres et de la misère confondus d'un troisième en pire ?
De référendums en plébiscites, l'ambition ouverte de la droite aujourd'hui n'est-elle pas de mettre impérativement la France sous l'empire du capital que d'aucuns baptisent pudiquement libéralisme ?
De référendums en plébiscites, l'ambition ouverte de la droite aujourd'hui n'est-elle pas de mettre impérativement la France sous l'empire du capital que d'aucuns baptisent pudiquement libéralisme ?
Victor Hugo publiait "Les Misérables" en 1862... N'y a-t-il pas de quoi le plagier aujourd'hui ? ... malheureusement ! Nous ne serions pas en peine de trouver Fantine et les Thénardiers, Cosette ou Valjean, et tous les Javerts d'aujourd'hui en mal de reconduite à la frontière de quelques miséreux d'ailleurs...
Ne reste plus qu'à trouver un architecte en barricades et à réinventer Gavroche !
à propos de la publication des Misérables... Victor Hugo, Hauteville-House, 1862.