Si toutes les régions...

... suivaient l'exemple des languedociens !

Les retraités sont trop victimes des politiques qui les trahissent depuis des décennies pour donner un chèque en rose aux réformistes de l'UNSA dynamiteurs de la FGR.

Compte rendu de la réunion régionale de la FGR-FP qui s’est tenue à Narbonne vendredi 19 Février.

…

Elle avait essentiellement pour but d’examiner la situation nouvelle créée par la décision du SE-UNSA de se désaffilier à compter du 1° janvier de la fédération et de préparer la commission exécutive nationale qui doit se réunir le 2 mars et qui aura à décider des initiatives à mettre en œuvre pour faire face à cette situation nouvelle. A cette commission participera Jean Soubra en tant que responsable régional de la FGR. C’est donc de son mandatement qu’il fallait décider.

La FGR a rappelé dans sa réunion du Bureau national les options possibles :

· Dissolution de la FGR-FP,

· Transformation de la FGR-FP en simple association sans lien syndical,

· La poursuite de la FGR-FP outil de type associatif et syndical, pluraliste et unitaire, pour lequel il sera nécessaire d’organiser la prise en compte de toutes les sensibilités »

Nous avons fait le point sur la situation dans les départements : les réunions qui ont eu lieu se sont prononcées toutes pour la troisième option. La position défendue par le responsable régional le 2 mars ne peut être que celle-là. Un large consensus s’est fait sur la nécessité de préserver l’unité de notre fédération, de veiller à renforcer son pluralisme, de travailler à son élargissement aux fonctions publiques territoriale et hospitalière.

Jean Soubra et Denis Joulia, respectivement délégué régional et délégué régional adjoint, membres du SE, ont dit que dans l’immédiat la décision du SE de désaffiliation ne mettait pas un terme à leur responsabilité qui courait jusqu’à la fin de leur mandat et ils ont demandé le temps de la réflexion.

A été évoquée la création sous l’égide d’Annick Merlen et de Jacques Maurice, anciens secrétaires généraux de la FGR-FP (au titre du SE) d’une association pouvant regrouper les militants du SE-UNSA qui souhaitent poursuivre leur engagement au sein de la FGR. Cette association est en cours de constitution, sa demande d’affiliation à la FGR sera traitée lors de la Ce du 2 mars.

Ce qui ressort des débats que nous avons eus :

· Un trouble profond chez les adhérents du SE-UNSA dont beaucoup refusent de suivre aveuglément la décision nationale, d’autant plus qu’elle a été prise sans eux,

· Le besoin de voir comment peut évoluer une situation dont tout le monde est conscient qu’elle porte un coup sérieux à l’unité et au pluralisme à un moment où le mouvement social, des actifs comme des retraités a besoin de se renforcer,

· Des organisations de l’UNSA n’ont pas arrêté leur décision, le SNIEN (inspecteurs), le SNPDEN…

A PERPIGNAN, le 19 Février 2016

Depuis février 2010...

... Les choses ont-elles tellement changé  depuis que j'écrivais cet article début 2010 ?

Peut-on se préparer à l'échéance présidentielle de 2017 en faisant l'économie d'un examen objectif  des exercices précédent ?

Doit-on se laisser enfermer dans le paradigme du casting au risque d'avoir bientôt à fermer les paupière d'une démocratie depuis des décennies en soins palliatifs ?

Depuis plus de trente ans le résultat du vote se construit par défaut. C'est celui ou celle dont le plus grand nombre veut se débarrasser qui est battu. Pendant longtemps la gauche gagne quand la droite est devenue assez insupportable, et vice-versa - du niveau national au plus local sur le même modèle-..

Une nouvelle étape a été franchie avec les élections régionales puisqu'on en arrive aujourd'hui à voir gagner n'importe qui pourvu que ce ne soit pas le troisième larron, en l'occurrence Le Pen. 

Et après ça il faudrait s'étonner de voir Valls faire une politique de droite ?

Il y a autant de politique, au vrai sens du terme dans la rencontre PS-Les Républicains que sur la pelouse synthétique d'un PSG-OL ; autant de fric aussi d'ailleurs !

Alors pour le bien du peuple, laissons donc les guignols emmaillotés se tacler pour faire vrai et invitons le à quitter les tribunes d'un spectacle d'opérette pour se retrouver sur la place publique, agora de la démocratie antique, pour débattre et choisir de rétablir la DEMOCRATIE, celle qui fait voter POUR en connaissance de cause !

Une autre clé peut être retrouvée dans l'histoire et la promotion récurrente du FN... 

Arrête ton char Manu...

... t'attaques la fadaise !

Cervicales à trente degrés et commissure des lèvres dédaigneuses comme d'habitude, notre premier sinistre a tranché : ceux qui contestent sa "réforme du travail" ont deux siècles de retard ! Ceux de gauche se retrouveraient balancés dans les cordes du dix-neuvième siècle par un freluquet parvenu ?

C'est le monde à l'envers. Dire qu'Emmanuel Valls va décrocher la palme dans un remake des Visiteurs serait insultant pour un Moyen-Age qui ne mérite pas ça, Le petit thuriféraire à la lampe à pétrole patronale flanqué de deux autres ministres aussi peu convaincus de parti pris populaire n'en récidive pas moins à chaque occasion. Etat d'urgence, déchéance de nationalité, plafonnement des indemnités sur décision des tribunaux des prudhommes, et autres détricotages de la législation du travail au profit du grand patronat... les résultats des régionales auraient-ils ouvert les yeux de Martine Aubry ?

La gauche est ailleurs, dans la conscience de beaucoup de ceux qui n'en peuvent plus d'être pris pour des crons par une ministre du travail qui ignorait, il n'y a pas si longtemps le B-A-BA des lois de son ministère.

D'enjeux d’apprentissages… en jeu d’apprentissage !

Daniel Balavoine chantait...

Qui ose dire qu'il peut m'apprendre les sentiments
Ou me montrer ce qu'il faut faire pour être grand
Qui peut changer ce que je porte dans mon sang
Qui a le droit de m'interdire d'être vivant
De quel côté se trouvent les bons ou les méchants
Leurs évangiles ont fait de moi un non croyant

La vie ne m'apprend rien
Je voulais juste un peu parler, choisir un train
La vie ne m'apprend rien
J'aimerais tellement m'accrocher, prendre un chemin
Prendre un chemin

Mais je n'peux pas, je n'sais pas
Et je reste planté là
Les lois ne font plus les hommes
Mais quelques hommes font la loi
Et je n'peux pas, je n'sais pas
Et je reste planté là

A ceux qui croient que mon argent endort ma tête
Je dis qu'il ne suffit pas d'être pauvre pour être honnête
Ils croient peut-être que la liberté s'achète
Que reste-t-il des idéaux sous la mitraille

Quand les prêcheurs sont à l'abri de la bataille
La vie des morts n'est plus sauvée par des médailles

La vie ne m'apprend rien
Je voulais juste un peu parler, choisir un train
La vie ne m'apprend rien
J'aimerais tellement m'accrocher, prendre un chemin
Prendre un chemin

Mais je n'peux pas, je n'sais pas
Et je reste planté là
Les lois ne font plus les hommes
Mais quelques hommes font la loi
Et je n'peux pas, je n'sais pas
Et je reste planté là

Je n'peux pas, je n'sais pas
Et je reste planté là
Les lois ne font plus les hommes
Mais quelques hommes font la loi
Et je n'peux pas, je n'sais pas
Et je reste planté là

La vie ne m'apprend rien


Daniel Balavoine chantait bien.

Ce bien beau texte écrit à l’encre de ses blessures dit pourtant tout de la vie dans la lumière du choix contre l’aveuglement de la croyance… de l’idéal vacillant sous la violence, de la mort, des lois, des hommes…

Cette souffrance de l’artiste contemplant le triste spectacle d’une société qui le condamne à l’impuissance se manifeste dans un temps où le monde bascule à corps perdu dans la griserie matérialiste du tout marché, marchandisant jusqu’à la vie des hommes, leurs sentiments, leur santé ou leur éducation… 

C’est dans ce dernier quart du XXème siècle que les observateurs des prochains siècles discerneront peut-être la charnière des civilisations qui s’articule autour du « numérique » accouchant des ordinateurs domestiques dans les années 80.

fond d'oeil et coloscopie

Le sondage est un peu comme les promesses, n'engageant bien que ceux qui y croient. Dans la grande manip médiatique pré-présidentielle, le journal Libération produisait récemment le résultat d'un sondage qu'il avait commandé à l'Institut Viavoice. Verdict sans appel : 81% des sympathisants de gauche favorables à une "primaire pour tous" (entendez de "tous les candidats de gauche")...

A y regarder de plus près comme les journalistes de Politis, la surprise n'est pas mince : le sondage effectué auprès de 1002 personnes... en compte seulement 277 se déclarant proches de la gauche, et 261proches de la droite (hors FN) ! Une petite moitié se partagerait entre l'indifférence droite-gauche et le Front National... C'est un élément au moins aussi important que le choix de 220 sympathisants de gauche.

Les gens sont assez conséquents dans leur réponse, tout compte fait, car pour qui voudrait approfondir la confusion politique à gauche, un an passé à voir des "personnalités" s'égratigner l'ego ne manquerait pas d'ajouter aux bataillons d'abstentionnistes déjà bien garnis ! 
La lecture intégrale est intéressante : retrouver l'intégralité du document de Viavoice pour Libération

Pour que la République retrouve ses couleurs, et faire éclater la bulle ploutocratique qui l'asphyxie, deux mesures radicales mériteraient d'être envisagées : la suppression des sondages et l'éradication des lobbies.

Quelques chômeurs de plus ? ... au risque d'en faire bien moins parmi leurs victimes !

Ce n'est qu'après que les citoyens redevenus électeurs, et des électeurs redevenus citoyens pourront envisager de choisir des élus sur la base des idées qu'ils défendent et non pour se débarrasser de celles et ceux dont ils insupportent la prétention, masque d'incompétence, à confier le soin des diverticules à l'ophtalmo de service.

à quoi ça sert ?

Un Jean-Luc Mélenchon ?

Première question à poser à ceux qui s'en inquiéteraient, au parti socialiste, au parti communiste ou même ailleurs, qui est-ce qui a fabriqué la marionnette ? 

Comme toujours dans ce genre de spectacle le marionnettiste est dans l'ombre de son théâtre de guignols, et, côté spectateurs, un peu comme à l'église, seuls les croyants, benêts, crédules ou les deux consentants, y trouvent leur compte, satisfaits de trouver ici ce qu'on leur dit qu'ils y trouvent en spectateurs dociles.

Dans le grand déménagement des idéologies, Jean-Luc Mélenchon et sa trois ou quatrième vie politique entamée avec la campagne des présidentielles fait figure de voiture balai. Sauf qu'il n'est là que pour récupérer les souffrants d'une étape sans échappée, ni course même, parti sur un autre itinéraire... Les autres, qui se croient grands se préparent à disputer les épreuves de qualification sans trop savoir sur quel terrain jouer l'affrontement, chacun dans son écurie...

Des vrais problèmes est-il question ? Du travail, de l'emploi, du chômage, des salaires et des pensions de retraites, de la couverture maladie ou des services publics, de l'école et de ses échecs à servir la République de la liberté, de l'égalité et de la fraternité...

Non pas. Entre quelques vieux un peu familiers de la justice et quelques plus jeunes dont les dents sont aussi longues que les idées courtes, le choix ressemble plus au karaoké de camping-paradis qu'à un débat démocratique.

Primaires, ils le sont tous au sens le plus affligeant du terme, au mieux capables de menuiser la langue de bois.

C'est dans ce paysage démissionnaire de la démocratie où chacun ne jurant que par le rassemblement ne conçoit pas qu'il se fasse ailleurs qu'autour de sa bien belle personne que le talent de Jean Luc Mélenchon trouve heureusement sa place en marge du choeur des candidats aux primaires. 

Au moins personne ne pourra lui reprocher de s'être trompé d'élection, sa candidature est annoncée pour l'élection présidentielle, pas dans le jeu factice des organisation qui, déjà en panne d'idées, sont désormais en panne de candidat. Complètement phagocytés par leurs élus tous plus méritants les uns que les autres, ils n'en n'ont point, forts d'en avoir trop ! 

Petit problème dans tout ça, c'est que Jean Luc Mélenchon a pris le costume de la monarchie républicaine qu'il condamne fort justement en se présentant hors des partis et critiquant la gauche inconsistante avec raison, face et avec le peuple... Une démarche un peu messianique qui n'est pas sans rappeler le coup de force de De Gaulle qui, lui aussi, avait eu envie de changer le numéro de la République; sa réussite.

Mélenchon catalyseur ? encore faudrait-il que les éléments constitutifs de l'alliage se rencontrent et se trouvent quelques atomes crochus...

C'est pas gagné !

Et pourtant il y a urgence pour un peuple en souffrance dans un monde en vrac.

adieu l'ami

C'est un peu un ami de la famille qui s'en va. Quand le courrier arrive chez les abonnés de toujours, le souvenir revient des générations précédentes et des vieux papiers conservés ça et là, avec le Travailleur de la Terre et le Réveil Paysan qui accompagnèrent le labour aux boeufs et aux chevaux, les fêtes rudes des batteuses et les veillées d'hiver quand on allait voir les bêtes avant de casser la croûte tard dans la nuit...

Les héritiers du syndicalisme de la première heure au temps des métayers et d'Emile Guillaumin en avaient fait le Bourbonnais rural oubliant les "petits gris Ferguson" ou les "201" de la Société Française de Vierzon pour couvrir les nouvelles campagnes bourbonnaises gagnées par la "modernité" d'une agriculture qui tuait la paysannerie... Et le Bourbonnais Rural meurt avec elle, un peu comme si l'expression paysanne n'avait plus sa place en bourbonnais.

Certes les efforts de beaucoup ont fini pat payer et porter les fruits funestes de la disparition. Infoutus de seulement bien faire leur travail d'aucuns se sont efforcé de miner le syndicalisme de la lutte paysanne de l'intérieur avant d'en sortir juste à temps pour briller dans la concurrence. Et comme la dernière adresse du BR le souligne, nombre d'appel sont restés sans réponse, un peu comme s'il y avait urgence à en finir sans tarder avec cette anomalie anachronique des "nouvelles ruralités".

C'est fait.

Le journal disparait, mais que toutes celles et tous ceux qui chantent l'oraison funèbre ou versent les larmes de crocodiles complices s'inquiètent ; derrière l'affaiblissement d'organisations de lutte l'esprit de résistance persiste et ne manquera de secouer les certitudes des petits soldats du capital dès qu'ils vont comprendre qu'ils seront, marionettes agricoles du monde de la finance, les prochaines victimes de la loi du fric.

Marchand de virgule

Il était une fois un linguiste distingué qui, devant son auditoire, rappelait exemple à l’appui, toute l’importance de la virgule.

Il racontait l

C'est un nouvel instituteur tout jeune qui débarque dans une école de campagne. Le maire. Voulant voir de quel bois le bonhomme était fait, demande à assister à son premier cours, lequel justement portait sur le bon usage de la virgule.

Sonne l’heure de la récréation. Les enfants sortent en piaillant, le maire s`approche de l‘instituteur

- C‘est bien, dit l’élu, mais…

Il y avait un « mais » : le maire avait trouvé qu‘une demi-heure sur la seule petite virgule, c'était un peu long.

- Mais Monsieur le Maire, c’est quelque chose de fondamental la ponctuation, -se défendit l’enseignant- Tenez. Allez au tableau et écrivez...

Et il lui dicta ces deux phrases :

• Le maire dit : l’instituteur est un imbécile.
• Le maire, dit l’instituteur, est un imbécile.

Alors ! Sans importance la virgule ?

La rentrée

dans la "grande région", quelques chiffres illustrent bien la part de gloire de l'Auvergne qui ne peut que bénéficier largement de son mariage avec Rhône-Alpes...

A la rentrée prochaine le dynamisme auvergnat en matière éducative va permettre de gagner 15 postes supplémentaires pour une perte annoncée de plus de 500 élèves.

Du côté Rhône-Alpin, avec près de 2500 élèves supplémentaires ce sont plus de 400 postes d'enseignants supplémentaires qui seront dégagés...

Est-on bien sûr qu'une telle situation promette aux campagnes bourbonnaises de trouver des enseignants qui s'installent et qui restent là où vivent encore quelques jeunes parents ?

Après hantise d'être nommé à plus d'un quart d'heure de la Place de Jaude le nouveau pédago Arverno-rhôn'alpin ne va-t-il pas limiter son territoire d'élection au périmètre du Parc de la Tête d'Or au mépris des petites têtes blondes parquées aux confins ruraux de l'Allier ou du Cantal ?

Il n'y a pas de fumée sans feu

Ca fait froid dans le dos, et, même si on sait jusqu'à quel point le cynisme des puissants, le mépris et l'oppression sont dans la panoplie ordinaire du capital face au travail et aux "travailleurs-marchandises" dont il exploite la force de travail sans grande précaution, on ne peut pas rester bien plus longtemps àsupporter qu'il soit humain de courber l'échine sans mot dire.

Et après ça il faudrait supporter que les syndicalistes de Good-Year aillent chauffer la place de ceux d'Air-France en prison...

Combien de responsables des grands scandales sanitaires croupissent en prison ?

Combien de responsables de casse sociale massive avec les conséquences habituelles économiques et humaines ont-ils eu à répondre de ce qui devra bien un jour être jugé et justement puni ?

Dans pesticide, il y a

Il faut prendre le temps de voir, c'est le temps de vivre !

Merci à l'équipe qui propose ce documentaire sur le service public.

La courbe qui baisse le nez

En examinant attentivement les tableaux ci-dessous on peut constater deux petites choses toutes simples :

1. Avec un point d'indice dont la valeur n'a pas changé depuis juillet 2010 le pouvoir d'achat des enseignants ont accentué leur perte de pouvoir d'achat évaluée à plus de 20% sur les 25 dernières années. dDe 2015 à 2016 les feueilles de peya accuseront une baisse de 5 à 15 euros environ par mois...
2. Le niveau de salaire des débuts de carières se jouent du SMIC pour une qualification à bac +5 et un recrutement sur concours...

Faut-il s'étonner des difficultés de recrutement ? Peut-on croire que l'éducation soit une priorité gouvernementale ?
nota : très très peu des enseignants atteignent l'indice terminal en fin de carrière et les retraités ont connu des pertes de pouvoir d'achat encore plus conséquantes...

Comme pour celle du chômage, François HOLLANDE aura bien échoué à inversé celle de l'évolution du pouvoir d'achat des fonctionnaires de l'éducation... il ne leur devait rien d'ailleurs !!!

1er janvier 2015						1er janvier 2016
Indice	Traitement brut mensuel	Traitement net mensuel				Indice	Traitement brut mensuel	Traitement net mensuel
		Zone1	Zone2	Zone3				Zone 1	Zone 2	Zone 3
288	1 333,52 €	1 137,70 €	1 113,57 €	1 101,51 €		288	1 333,52 €	1 132,36 €	1 108,23 €	1 096,17 €
291	1 347,41 €	1 149,17 €	1 125,05 €	1 112,98 €		291	1 347,41 €	1 143,78 €	1 119,66 €	1 107,59 €
318	1 472,43 €	1 241,01 €	1 215,64 €	1 202,95 €		318	1 472,43 €	1 235,17 €	1 209,80 €	1 197,11 €
341	1 578,92 €	1 330,77 €	1 303,54 €	1 289,93 €		341	1 578,92 €	1 324,52 €	1 297,29 €	1 283,68 €
349	1 615,97 €	1 361,98 €	1 334,12 €	1 320,20 €		349	1 615,97 €	1 355,58 €	1 327,73 €	1 313,80 €
357	1 653,01 €	1 393,21 €	1 364,71 €	1 350,46 €		357	1 653,01 €	1 386,67 €	1 358,17 €	1 343,92 €
366	1 694,68 €	1 428,32 €	1 399,11 €	1 384,49 €		366	1 694,68 €	1 421,61 €	1 392,40 €	1 377,78 €
373	1 727,09 €	1 455,64 €	1 425,87 €	1 410,97 €		373	1 727,09 €	1 448,80 €	1 419,03 €	1 404,13 €
376	1 740,98 €	1 467,34 €	1 437,33 €	1 422,33 €		376	1 740,98 €	1 460,44 €	1 430,43 €	1 415,43 €
383	1 773,40 €	1 494,66 €	1 464,10 €	1 448,80 €		383	1 773,40 €	1 487,64 €	1 457,09 €	1 441,78 €
390	1 805,81 €	1 521,99 €	1 490,86 €	1 475,28 €		390	1 805,81 €	1 514,85 €	1 483,71 €	1 468,13 €
395	1 828,96 €	1 541,48 €	1 509,96 €	1 494,20 €		395	1 828,96 €	1 534,24 €	1 502,72 €	1 486,96 €
399	1 847,48 €	1 557,11 €	1 525,27 €	1 509,33 €		399	1 847,48 €	1 549,79 €	1 517,95 €	1 502,02 €
410	1 898,41 €	1 600,04 €	1 567,31 €	1 550,94 €		410	1 898,41 €	1 592,52 €	1 559,79 €	1 543,42 €
416	1 926,20 €	1 623,45 €	1 590,25 €	1 573,65 €		416	1 926,20 €	1 615,82 €	1 582,61 €	1 566,02 €
420	1 944,72 €	1 639,06 €	1 605,54 €	1 588,77 €		420	1 944,72 €	1 631,36 €	1 597,84 €	1 581,07 €
432	2 000,28 €	1 685,87 €	1 651,40 €	1 634,17 €		432	2 000,28 €	1 677,95 €	1 643,48 €	1 626,25 €
434	2 009,54 €	1 693,68 €	1 659,05 €	1 641,72 €		434	2 009,54 €	1 685,73 €	1 651,10 €	1 633,77 €
439	2 032,69 €	1 713,22 €	1 678,16 €	1 660,64 €		439	2 032,69 €	1 705,17 €	1 670,12 €	1 652,59 €
441	2 041,95 €	1 720,99 €	1 685,79 €	1 668,20 €		441	2 041,95 €	1 712,91 €	1 677,71 €	1 660,13 €
445	2 060,47 €	1 736,61 €	1 701,09 €	1 683,34 €		445	2 060,47 €	1 728,44 €	1 692,92 €	1 675,17 €
453	2 097,52 €	1 767,83 €	1 731,68 €	1 713,60 €		453	2 097,52 €	1 759,53 €	1 723,38 €	1 705,29 €
458	2 120,67 €	1 787,35 €	1 750,78 €	1 732,51 €		458	2 120,67 €	1 778,95 €	1 742,38 €	1 724,12 €
467	2 162,34 €	1 822,48 €	1 785,20 €	1 766,56 €		467	2 162,34 €	1 813,91 €	1 776,64 €	1 758,00 €
469	2 171,60 €	1 830,27 €	1 792,83 €	1 774,12 €		469	2 171,60 €	1 821,68 €	1 784,24 €	1 765,53 €
481	2 227,17 €	1 877,10 €	1 838,71 €	1 819,52 €		481	2 227,17 €	1 868,28 €	1 829,89 €	1 810,70 €
482	2 231,80 €	1 881,01 €	1 842,53 €	1 823,31 €		482	2 231,80 €	1 872,17 €	1 833,69 €	1 814,47 €
495	2 291,99 €	1 931,74 €	1 892,22 €	1 872,48 €		495	2 291,99 €	1 922,66 €	1 883,15 €	1 863,40 €
510	2 361,44 €	1 990,27 €	1 949,57 €	1 929,20 €		510	2 361,44 €	1 980,92 €	1 940,22 €	1 919,86 €
511	2 366,07 €	1 994,18 €	1 953,40 €	1 932,99 €		511	2 366,07 €	1 984,81 €	1 944,03 €	1 923,63 €
515	2 384,60 €	2 009,78 €	1 968,67 €	1 948,13 €		515	2 384,60 €	2 000,35 €	1 959,23 €	1 938,70 €
531	2 458,68 €	2 072,23 €	2 029,86 €	2 008,66 €		531	2 458,68 €	2 062,49 €	2 020,12 €	1 998,92 €
539	2 495,72 €	2 103,45 €	2 060,42 €	2 038,91 €		539	2 495,72 €	2 093,57 €	2 050,54 €	2 029,03 €
540	2 500,35 €	2 107,34 €	2 064,25 €	2 042,70 €		540	2 500,35 €	2 097,44 €	2 054,35 €	2 032,80 €
560	2 592,96 €	2 185,40 €	2 140,70 €	2 118,36 €		560	2 592,96 €	2 175,12 €	2 130,43 €	2 108,08 €
567	2 625,37 €	2 212,72 €	2 167,46 €	2 144,83 €		567	2 625,37 €	2 202,32 €	2 157,06 €	2 134,43 €
601	2 782,80 €	2 345,40 €	2 297,43 €	2 273,45 €		601	2 782,80 €	2 334,37 €	2 286,40 €	2 262,42 €
612	2 833,73 €	2 388,32 €	2 339,48 €	2 315,05 €		612	2 833,73 €	2 377,10 €	2 328,26 €	2 303,82 €
642	2 972,64 €	2 505,41 €	2 454,16 €	2 428,53 €		642	2 972,64 €	2 493,63 €	2 442,38 €	2 416,75 €
658	3 046,73 €	2 567,85 €	2 515,31 €	2 489,06 €		658	3 046,73 €	2 555,78 €	2 503,25 €	2 477,00 €
664	3 074,51 €	2 591,26 €	2 538,26 €	2 511,76 €		664	3 074,51 €	2 579,08 €	2 526,08 €	2 499,59 €
695	3 218,05 €	2 712,24 €	2 656,76 €	2 629,02 €		695	3 218,05 €	2 699,50 €	2 644,02 €	2 616,28 €
741	3 431,04 €	2 891,74 €	2 832,59 €	2 803,02 €		741	3 431,04 €	2 878,16 €	2 819,01 €	2 789,43 €
783	3 625,51 €	3 055,65 €	2 993,14 €	2 961,90 €		783	3 625,51 €	3 041,29 €	2 978,79 €	2 947,54 €