dimanche 25 avril 2010

l'émeute silencieuse


A lire attentivement ! à déguster avec gourmandise et curiosité !
Toutes les contributions sur le thème de l'huma des débats du 24 avril valent qu'on s'y arrête.
La droite peut-elle changer de cap ?
Certains vont dire qu'il vaudrait mieux s'interroger sur le cap à définir pour la gauche, et le Parti Communiste en particulier (encore faut-il avoir une carte !)...
S'interroger sur la situation de l'adversaire est un incontournable pour qui veut livrer  bataille avec l'ambition de gagner. Il est donc primordial de bien comprendre situation et fonctionnement de l'adversaire pour établir sa propre stratégie, et caler au mieux sa propre offre politique.
Cela est vrai au niveau national pour l'élection présidentielle comme pour la moindre élection locale.

vendredi 23 avril 2010

Pour détruire un homme, il suffit parfois de lui donner ce qu'il veut...

Pour détruire un homme, il suffit parfois de lui donner ce qu'il veut... Qu'en est-il pour les organisations ?
Ce propos paraît bien incongru au premier abord ! Faudrait-il rappeler le rêve d'Icare ? ... convoquer le principe de Peter ? ou se satisfaire du sourire convenu et béat d'autosatisfaction de celui qui veut faire souffler du vent plus haut que son postérieur...

Non bien sûr. Car si le "principe de Peter", inventé il y a presque un demi siècle postule que « tout employé tend à s'élever à son niveau d'incompétence. », c'est plus souvent son corollaire qui s'observe : « Avec le temps, tout poste sera occupé par un incompétent incapable d'en assumer la responsabilité. »

Dans cet ordre d'idées, qu'en est-il alors de la satisfaction des appétits politiques le plus souvent réduits à la gourmandise du pouvoir ? Ils conduisent à la déconnection du réel.

quelle heure est-il à l'horloge de la démocratie ?

... moins le quart !
Au dernières régionales les trois quart des jeunes n'ont pas voté !

Que va-t-il éclore de cette fracture ?
71% d'abstention chez les jeunes aux dernières européennes.
En France on estime à près de 75% le taux d'abstention chez les jeunes.
Tous les pays européens sont frappés, y compris dans les pays où le vote est obligatoire ou 10% des jeunes ne votent qu'avec leurs pieds.
L'interview d'Anne MUXEL dans l'Huma Dimanche de cette semaine est interessante à plus d'un titre sur ce point.
Elle fait l'hypothèse que les jeunes sont "politisés autrement".
Dans les mesures de ses études elle constate un phénomène d'amplification dans le comportement des jeunes qui ont suivi l'augmentation du comportement abstentionniste en en augmentant la portée.
Ce que j'avais constaté dans nos campagnes éloignées des cités des banlieues rejoint bien le propos de la chercheuse du CEVIPOF.

mercredi 21 avril 2010

Unité diversité congrès

Préparation du "Congrès d'étape"...

La précipitation est bien mauvaise conseillère… sauf à considérer que les errements d’un parti sans boussole ces dernières années qui ont conduit de désillusions en reculs sur des stratégies de rassemblement mal préparées doivent se poursuivre, ne faudrait-il pas prendre le temps de la réflexion pour préparer ce congrès d’étape en interessant tous les communistes au débat. Le débat de fond porte d’abord sur notre organisation et son avenir.

T'as un vol quand ?

Dame nature désole le capital et déboussole les pilotes du capitalisme...



Neige en hiver, sécheresse en été, malheureuse conjonction des vents de sud ouest avec les grandes marées... et les digues mal raccommodées du capital cèdent ici et là, plongeant les hommes, les femmes et les enfants dans le grand bain de la désolation, sans bouée ni chaloupe.


Sarkozy qui tonne sur la nécessaire destruction des constructions édifiées en terres inondables à grands renforts de permis publics n'est-il pas proche cousin du patron du Titanic ?

vendredi 16 avril 2010

quasiment géant

L'un des géants de la grande distribution annonce dans ses résultats l'intérêt des équipements de proximité... pour leur rentabilité et le profit qu'ils dégagent!!! sur le dos des consommateurs, et plus si affinités.
Dans cette bonne logique le groupe épicier installé locataire à bon marché d'un bâtiment communal souhaite que son bailleur agrandisse le bâtiment pour y loger un peu plus de marchandise...
L'opération calamiteuse engagée par la municipalité avec la destruction du "Marché Couvert" va rebondir à la demande de l'enseigne commerciale.

mercredi 14 avril 2010

Capitale retraite

Au fait, c'est quoi, la retraite ?
Un état dans lequel on peut avoir le bonheur de se retrouver au terme d'une vie de travail, une vie de dur labeur pour beaucoup, sans travail "obligé"... Pas seulement ! c'est aussi le temps d'activités choisies, il y a tant de choses qu'on n'a pas eu le temps de réaliser avec le peu de temps libre que laissait la journée et semaine de travail. Pour beaucoup de ceux qui l'attendent c'est surtout le temps d'une vie qui heureusement s'allonge et qu'on n'a plus besoin de gagner en partant chaque matin travailler. Et ça, dans une société du tout marché, qu'un vieux puisse faire ses courses avec les quelques sous de sa pension sans rien faire d'autre que s'inquiéter du prix de journée de la maison de retraite, c'est limite insupportable !

mardi 13 avril 2010

Ambition d’un parti, ou parti d’ambitions ?


A propos de l'interview de Pierre LAURENT dans l'Humanité du 12 avril titrant :
« Le débat des retraites est un enjeu majeur »

Au moment où s'ouvre le dossier des retraites, Pierre Laurent, coordinateur national du PCF, estime que le Front de gauche doit « se déployer sur le terrain social » pour faire reculer le gouvernement.

Où en est le « Front de gauche d'action et de projets » que vous proposez, au moment où s'ouvre le dossier de la réforme des retraites  ?
Pierre Laurent.
Le débat sur les retraites est un choix de société majeur. Quoi qu'il en dise, Nicolas Sarkozy envisage de passer en force. On voit en ce moment comment il refuse toute négociation avec les cheminots en lutte. Il faut donc s'appuyer sur le rapport de forces nouveau sorti des élections régionales. Pour la première fois depuis 2007, la droite est réellement sonnée. Cela ouvre des opportunités nouvelles pour faire reculer le gouvernement. Déployer la stratégie du Front de gauche sur le terrain social en rassemblant sur des alternatives est pour l'heure la priorité. Nous devons notamment réussir un très grand 1er mai social et politique.

Mais n'est-on pas encore loin d'un front majoritaire à gauche sur les alternatives à proposer  ?
Pierre Laurent.
C'est pour cette raison que nous appelons à une nouvelle phase du Front de gauche qui fasse émerger les grands repères d'une alternative politique, qui permette aux acteurs des mobilisations sociales d'en être partie prenante, qui permette aussi un réengagement populaire dans la politique. Nous entrons dans une nouvelle séquence dominée par deux questions  : battre Sarkozy, et se donner les moyens d'ouvrir une nouvelle ère politique. Ça commence maintenant.

Des impatiences s'expriment dans le Front de gauche sur la désignation d'un candidat à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon voulant « obliger les communistes à trancher 
à leur congrès »…
Pierre Laurent.
Il ne s'agit pas de ralentir la cadence, mais de savoir par quoi on commence. Nous pensons que nous devons commencer par travailler à élargir le nombre de celles et ceux qui s'engagent dans le Front de gauche, et par mener un gigantesque travail sur le projet dont devra se doter une nouvelle majorité. Le temps viendra de savoir qui devra porter ce projet à la présidentielle. Lors de son congrès de juin, le PCF va approfondir ce débat. Le rassemblement sera fort s'il est construit autour d'un projet partagé, pas s'il est conçu comme un ralliement à tel ou tel candidat.

Des membres du PCF 
ont annoncé leur départ 
du parti ou de sa direction, 
lui reprochant de rester 
dans une stratégie « étriquée » de « cartel » d'organisations. Qu'en pensez-vous  ?
Pierre Laurent.
Le débat sur les prolongements à donner au Front de gauche est normal. Les étapes franchies sont précieuses et très prometteuses. En même temps, je pense moi-même que nous devons en dépasser certaines limites pour ne pas en rester, justement, à un cartel, qui n'a jamais été sa vocation. Le congrès de juin du PCF doit permettre de procéder à cette évaluation collective et de prendre les initiatives pour de nouveaux déploiements. Nous devons pour les mêmes raisons accélérer les transformations du PCF que nous avons décidées, et notre congrès de juin doit en donner le signal fort. Je dis aux camarades qui sont tentés par le départ  : votre place est dans ce débat. Ce n'est pas le moment de nous quitter. Je note d'ailleurs qu'au même moment beaucoup d'autres nous rejoignent ou reviennent parce qu'ils ont envie de s'engager avec nous.
Entretien réalisé par Sébastien Crépel
La fonction (mission) de coordinateur de Pierre Laurent s'applique sur quel objet ? S'agit-il d'organiser le travail, d'arranger différentes interventions des différentes composantes du parti émietté dont il ambitionne la direction ? … ou de réunir les conditions du sursaut politique d'un parti en déclin ?




Plutôt qu'un petit exercice de « parole verbale », les communistes seraient en droit d'attendre de leur direction nationale quelques orientations nettes et documentées.
Le débat sur la retraite : on sait que c'est un choix de société (quel est donc le nôtre ?), on sait que Sarkozy veut passer coûte que coûte (comment et sur quel mot d'ordre mobilise-t-on sans attendre ?), le rapport de force sorti des régionales est-il un point d'appui pour les luttes ? L'explosion de l'abstention, la prééminence du PS, le score timide du front de gauche avec deux fois moins d'élus communistes qu'en 2004 et le grand désordre de l'offre politique des communistes dans les régions ne me semblent pas constituer les fondations solides dont le mouvement populaire a besoin pour inquiéter la droite au pouvoir et réorienter le social libéralisme d'un PS à la Strauss Kahn.
Faire « émerger les grands repères d'une alternative politique, qui permette aux acteurs des mobilisations sociales d'en être partie prenante, qui permette aussi un réengagement populaire dans la politique… » ; mais quels repères ? Se dire aujourd'hui qu'ils vont se dessiner dans l'alchimie d'un rassemblement hétéroclite comme on sait bien le faire depuis quelques années (cf. antilibéraux…) relève de l'illusion. Parler de rassemblement sans cadre idéologique mobilisateur ne fait que du consensus mou et préfigure la déception de toutes les parties qui pensaient en s'engageant faire triompher les idées qu'ils n'affichaient pas (cf. ambitions 2012 de Mélenchon dans le « front de gauche »).
Le slogan « battre Sarkozy » renvoie à la perspective 2012 et enferme l'organisation dans le débat électoral permanent. Les français sont-ils préoccupés aujourd'hui de la désignation d'un candidat « front de gauche » susceptible d'être élu président dans deux ans, de servir de caution à la gauche molle, ou promis à la relégation en quatrième division loin derrière les écolos et les fachos ?... Une des causes de l'abstention est justement là, dans cette effacement du débat politique au profit des petits arrangements et des grands jeux électoraux, à commencer par l'aventure des candidatures, quadrature du cercle depuis longtemps résolue dans notre parti où il faut, pour les communistes, d'abord être élu pour être candidat avant d'être candidat pour envisager d'être élu. Cette équation prend d'autant plus d'importance que nous avons moins d'élus, ce qui valide cette stratégie dans une logique de préservation.
C'est aussi la même illogique qui préside à la vie du parti engagé dans une forme de régression informelle appuyée l'éloge de la diversité. La richesse de la diversité ne peut exister que dans sa mise en cohérence, jamais dans l'exercice incontrôlé de la concurrence de courants divergents.
Mobiliser de nouvelles forces et/ou faire de nouveaux adhérents (au PCF ou au « front de gauche » ?) et se doter d'un projet partagé… approfondir le débat… ça manque quand même sacrément de contenu pour donner envie !
Le « congrès d'étape » de juin dont l'existence est essentiellement calée sur le remplacement de Marie-George BUFFET à la direction nationale par Pierre LAURENT peut-il être le lieu et le moment du débat d'idées déterminant des axes d'un projet mobilisateur à gauche ? Avec une préparation bâclée en quelques semaines, à peine sortis des régionales, déjà dans les cantonales et avec les présidentielles en point de mire, comment les communistes peuvent-ils échapper à la dictature de la stratégie et de la tactique électorale (front de gauche) sur le ré enrichissement idéologique de leur ligne politique ?
Le risque est grand qu'en brandissant le hochet « front de gauche » comme suffisant à la propagation du bruit de la prochaine défaite de la droite on ne fasse que renforcer le courant réformiste du PS comme aux dernières régionales.
C'est d'une autre ambition que les communistes ont besoin ; moteur de rassemblement, oui comme ils l'ont toujours été dans les moments cruciaux de notre histoire, mais pourquoi, pour aller où et faire quoi, avec qui ?
Quant aux départs annoncés de « grands noms » parisiens du PCF les communistes méritent des explications claires sur les positions des uns et des autres. Il n'est ni juste ni bon de se contenter de confondre Patrick Braouezec et Lucien Sève dans le même « votre place est dans ce débat ». Tout comme il est problématique d'entretenir nombre d'organisations parallèles dans lesquelles les divergences s'organisent et se confortent, (voir l'ANECR par exemple qui, sous couvert de la légitimité des élus conserverait celles et ceux qui quitteraient l'organisation du parti tout en accueillant celles et ceux qui ont toujours refusé d'y adhérer).
Il nous faut des idées pour nourrir notre idéal et le faire partager.

lundi 12 avril 2010

De l'idée au geste


Charlie Chaplin-Le Dictateur,Les Temps Modernes
Avec Charlot, c'est l'art et l'artiste qui en dit long sur l'approche des idées dans le comportement...


Il semblerait qu'aujourd'hui l'idée ne conduise plus le geste.
Les politiques, de quelque bord qu'ils soient semblent clônés, comme si le miracle de l'élection les avait tous affublés du gène noble de la communication.
Le charisme en politique : le documentaire ci-dessous aide à comprendre ce qui peut conduire à la ruine de la démocratie dès lors que les attitudes et comportements prennent le pas sur les idées, chez celui qui agit comme chez celles et ceux qui l'observent. C'est une forme de régression aristocratique dans laquelle les faits de cour valent plus que les idées en débat.
Le philosophe Américain Noam Chomsky le dit à sa façon : « les élections sont conduites par l'industrie des relations publiques qui markette les candidats à la manière des spots télés. Le but du marketing est de créer des consommateurs non informés faisant des choix irrationnels, infirmant ainsi l'existence de marchés que nous avons appris à révérer, ceux dans lesquels des consommateurs informés font des choix rationnels. Les mêmes techniques sont utilisées pour saper la démocratie. »

La "peopolisation" des politiques, la "politique spectacle", les discours convenus du consensus mou, la constitution d'un entre soi d'élus en quête de légitimité... tout concourt à la mise au second plan des idées.
La "radio bistro" d'Anne Roumanoff colle assez bien à cette nouvelle donne qui privilégie la politique de comptoir ou d'arrière salle de bar au vrai débat démocratique. Bla-bla et rumeurs suffiront-ils longtemps à gouverner la main qui a le bout du doigt sur la gachette de notre pétoire atomique ou qui saigne comme renard en poulailler tous les acquis sociaux d'un siècle passé ?

Manipulation : Observons le charisme politique in éducatif et instruction  

lundi 5 avril 2010

Qui paye la dette des autres s'appauvrit !

Qui paye ses dettes enrichit... son prêteur.
La dette publique est devenue l'arme fatale de l'arme médiatique fatale de la droite ou des socialistes pour casser le moral combattif du français économiquement esquinté.
Le travail des auteurs de cet ouvrage a bien des vertus pédagogiques pour faire comprendre le mécanisme de la dette publique et le mythe qui va avec. Il a aussi bien d'autres vertus... L'interview de l'un des auteurs dévoiles les clés ddu système.


La dette publique, une affaire rentable
envoyé par AtoumX2. - L'info video en direct.

samedi 3 avril 2010

France nomade...

... et belle à parcourir, à découvrir, à rencontrer ! et tout ça tranquillement au hasard des routes, au détour des chemins, en sachant s'arrêter.

La campagne  2010 est lancée ! Bientôt direction le Nivernais et la Bourgogne, jusqu'aux confins de l'Yonne, pour faire découvrir à Clément la contruction du château-fort de Guédelon !

La sciure et les copeaux


Toutes les buches savent qu'il y a plusieurs façons de se faire scier, plus ou moins nobles, plus ou moins douloureuses.
Le scieur de long rêve à la charpente cachée sous la couverture du bel édifice pour bien la supporter. Il sait déjà qu'elle changera plusieurs fois d'ardoise ou de tuile avant de s'inquiéter du bois qui les porte. Il a laissé de côté toutes les pièces trop fines ou par trop tordues pour jeter son dévolu sur le fût bien droit et de belle longueur qui va lui permettre de tirer la poutre maîtresse, pannes et chevrons, liteaux et chanlats ou voliges. Il a laissé de côté l'écorce et le bois blanc, d'apparence fragile, superficielle et trop jeune pour remettre au jour la solidité du cœur. En préservant la structure longue des fibres il en préserve aussi une forme de souplesse garante de la solidité de l'assemblage. Jusqu'à la cheville taillée dans le fil du bois, tout n'est que respect et mise en valeur.

L'hiver s'annonçant rude, il va falloir faire provision de bon bois de chauffage. Alors là, point tant de précautions ; c'est la taille de la bûche qui compte, qu'elle garnisse bien le foyer, ni trop longue ni trop courte, et de belle grosseur pour bien tenir le feu. Il faudra fendre les plus grosses sans oublier d'en faire de plus fines pour activer le feu vif sous l'omelette. L'arbre ne s'y reconnait plus, tronçonné à petits bouts, bouts jetés en désordre, les plus gros tronçons fendus, les échardes vengent parfois du massacre ! Mais après tout, qu'importe, tout ça doit bien finir en cendres et en fumée au sortir du foyer.

Et puis il y a l'artiste… celui qui va sélectionner le morceau qu'il sent bien, le bon morceau n'est pas forcément le plus beau ! Il sent l'intérieur du bois pour bien passer de la futaie à la futaille ! Et de chêne en billon, de billon en quartiers, de quartiers en merrains, du merrain à la douelle, et des douelles au tonneau, le vin se fait déjà, il attend, il s'échauffe, il bouillonne, pour enfin pressuré, aller se reposer et murir à l'ombre du grand chêne. Il avait l'ossature de sa terre, il s'anoblit du goût subtil et de la couleur du bois.

De cette fable en politique il ne reste aujourd'hui que la langue, de bois.

« Quand j'entends parler de révolver je sors ma culture... ».


... ça, c'est de Francis BLANCHE !
15 à 12 !
Score de rugby ? … de hand ball ? … ça ne peut pas être du foot quand même !
Eh bien si ! Le théâtre sort encore vainqueur cette année face au foot !
Difficile à croire quand on voit la radio, qu'on entend l'Equipe, qu'on lit la télé, et qu'on va à confesse assidument à la française des jeux pour se faire pardonner d'avoir raté sa vie, sans Rolex à 50 balais…

 
Plus d'entrées dans les théâtres que dans les stades de foot ! Vous n'en revenez pas ? Eh bien si !
Et c'est heureux !
Ce qui l'est moins