C'était bien la moindre des choses après que la représentation nationale ait massacré la retraite des gens ordinaires qui vont travailler plus, chômer plus, cotiser plus, pour gagner moins et moins longtemps à la retraite.
Les fossoyeurs de la retraite des pauvres ont senti que celle des riche fleurait la poudre.
N'est ce pas là que la partie émergée de l'iceberg ? Ce grand patron méritant pour avoir jeté à la rue quelques milliers de travailleurs, fermé quelques sites industriels, a gonflé les dividendes des actionnaires qui n'hésitèrent pas, pour quatre ans de service à la tête de la direction générale à provisionner plus de 21 millions d'euros pour sa "retraite", plus de 60 millions pour les 7 dirigeants qui devaient partir...

Comparaison n'est pas raison, c'est bien connu.
Et donc, pour s'assurer que ça ne reproduira pas, et pour faire passer l'envie de l'envisager aux aventuriers de la finance et du profit personnel, peut-être faudrait-il s'interroger sur l'appropriation collective des moyens de production, condition élémentaire d'une redistribution équitable des fruits du travail.
Un idéal communisque, comme on disait parfois au XIXème siècle !
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