dimanche 24 janvier 2010

Cerise verte ou fil rouge ?


Belle dénonciation de la mascarade de Copenhague
Il est très intéressant d'entendre le propos d'Hugo CHAVEZ, président du Venezuela, devant les représentants du monde réunis à Copenhague fin 2009. Certains se sont réjouis bruyamment d'un accord à minima arraché au terme de la nuit blanche de quelques « grands » du monde. D'autre se sont pris à regretter un résultat fantomatique... En vérité, satisfecit ou constat de carence sont tout aussi hors sujet : le sommet de Copenhague n'a rendu que ce que le capitalisme en maître a bien voulu qu’il rende, RIEN ! Si ce n'est que le spectacle affligeant de gesticulateurs faux-culs pour amuser la galerie des médias perroquets, l'affichage indécent du mépris des plus forts à l'endroit du monde qu'ils pillent et qu'ils afament... Accessoirement, on en profite pour ancrer un peu plus dans les consciences le discours culpabilisateurs des champions de la décroissance qui inquiètent plus les pauvres qui ne peuvent guère décroître que les nantis à l’abri de leurs marges.


Et ce que dit ici Chavez à la tyrannie capitaliste qui affame la planète porte bien les espoir des peuples du monde avides de justice, de paix et tout simplement de DEMOCRATIE.
Prenez le temps d'écouter le discours du président Chavez... Il porte la parole forte de ce qui peut faire de l’Amérique latine la tête de pont d’un espoir planétaire. En matière verte, ça vaut bien Home et toutes les sorties médiatiques d’Arthus Bertrand réunis.

Première partie :

Deuxième partie :

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