jeudi 24 avril 2014

Lui, la croyance à l'épreuve des faits



Langue de bois... La transmutation du bois de rose en bois blanc n'en fait pas un bois d'oeuvre, encore moins un bois de charpente ni même de chauffage.
Tout au plus bois de cerf pour tous les cocus de cette gauche molle et de circonstance qui se réveille tardivement honteuse de sa gueule de bois...
Des mesures cautères sur jambe de bois, issues d'une démocratie de croyance qui n'a rien à envier aux prières béates des fidèles de toutes les chapelles... des promesses, des discours, des paroles, des éclats de voix sans le moindre accent de sincérité, des silences calculés appelant l'applaudissement programmé...

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Mettre sa croyance à l'épreuve des faits n'a jamais été chose facile ; il y a tant de charlatans pour encourager la croyance, la susciter, la conforter, l'entretenir ou la contrôler dans le grand cirque des médias sondagiers que le libre arbitre de citoyen responsable est aujourd'hui devenu denrée rare, le confort consommateur de l'idée prépensée, du concept poison pané servi ranci à l'ouverture de tous les JT a rendu les citoyens perméables à la pensée nocive de l'extrême droite comme à celle anesthésique du social-libéralisme.

Ce n'est qu'au réveil, qui se promet brutal, que l'électeur trop patient va se réveiller amputé d'un morceau de retraite et se service de santé, d'un peu d'éducation et de culture, de justice et dépouillé des moyens élémentaires de la vie, laissé à l'abandon dans les territoires oubliés d'une République de petits marquis sécurisant les marches de la couronne.

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