La Poste avait raison ; celles et ceux qui se disent "sages", veilleurs attentifs à la surveillance des lois de la République auraient-ils perdus la raison à la veille d'un deuxième tour d'élection qui leur fouetterait les sangs ?
L'espace d'un avis a suffi pour faire disparaître le harcèlement sexuel du catalogue des comportements répréhensibles en France.
Le calendrier ne s'est pas arrêté au 1er avril, mais c'en est à se demander si DSK ne serait pas candidat surprise dimanche matin...
Peut-être devrait-on inciter les femmes que nous voulons nos égales à partir en campagne puisqu'elles ne risquent rien elles non plus désormais faute de loi à complimenter les hommes de leur entourage à grands traits de "c... molles, de "p'tite b..." ou d'offres de service conditionnelles.
D'un pays qui a interdit la burka, qui songe à exiger la parité, il est urgent de faire celui des "droits de la femme" !
Et en attendant, le Conseil Constitutionnel aurait au moins pu faire le moindre effort de garantir aux affaires en cours un juste achèvement, ne serait-ce que pour le respect des plaignantes aussi bien que pour celui de la présomption d'innocence des mis en cause.
Mais il est vrai qu'on a vu dans ces derniers jours de campagne avancer le projet d'une présomption de légitime défense pour les forces de l'ordre... alors peut-être que dans la foulée du dérèglement des esprits les harceleurs pourraient bénéficier d'une extension de cette présomption en invoquant un décolleté trop généreux.
Tout simplement SCANDALEUX.
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