vendredi 11 mai 2012

Banderilles ou coton-tiges




Ca va mieux en le disant...
Ce petit morceau d'interview contient tout, tout ce qu'il convient de savoir et mesurer pour comprendre que les stratégies politiques d'accomodation sont -comme toujours- vouées à l'échec.
Le capital n'a pas, comme le Parti Communiste Français, effacé la lutte des classes de ses grands principes.
Il n'a pas eu non plus à mendier quelques alliances improbables entre Modem et FN et en passant par les rejetons du RPR pour dicter sa conduite à plus de 48% des électeurs français.
C'est quand même simple et clair ; à moins que le plus important soit de paraitre...
La séduction n'a jamais été le meilleur argumentaire des politiques de progrès, au mieux celui des populistes, poujadistes et totalitaires de tout poil. La banque ne s'y trompe pas.
Dans l'arène de la crise les socio-démocrates ont-ils bien autre chose que des coton-tiges à piquer au cou du capital ? Et tous les "élus" des conseils d'administration des caisses locales de la banque ont-ils compris le sens des propos de Monsieur Chevreux ?

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