Pendant des mois et des mois, des années durant les"pères la rigueur" de toutes les couleurs ont expliqué l'impérieuse nécessité de se serrer la ceinture... pour ne pas "laisser aux générations futures le poids de notre vie à crédit". Ils osent même parler de pédagogie pour vendre aux plus benêts leur potion d'escroc.
Au hasard d'un passage sur le blog de Jocelyne, il est bon de grappiller deux bonnes illustrations de la vanité de "la dette", pour peu qu'on se souvienne que les États n'ont pas toujours été obligés de passer sous les fourches caudines des banques pour se financer. Les banques centrales doivent être là pour un financement sans intérêt puisqu'il s'agit du bien public et que la thésaurisation est bien là la malhonnêteté socio économique majuscule qui gave des plus riches avec les fonds de poches des plus pauvres.
La loi scélérate de 1973 ouvre l^ère du pillage des finances publiques par les fortunes privée.
Mélenchon contre la loi Pompidou-Rothschild... par Antipenseunique
Aujourd'hui les milliers de milliards d'euros d'intérêts versés aux banques prêteuses (sans compter les recapitalisations corrigeant leurs écarts de conduite dans les crises) sont autant de salaires de fonctionnaires non remplacés et non embauchés pour faire face aux besoins de populations à la peine.
Aujourd'hui les milliers de milliards d'euros d'intérêts versés aux saigneurs des peuples sont autant d'équipements publics d'éducation, de santé, de communication, de culture, etc. qui font défaut aux population en attente de mieux-être et qui sont confronté à l'appétit de profit des entreprises privées auxquelles la puissance publique brade les services publics qu'elle devrait assurer.
Alors oui, quand bien même le Front de Gauche ne serait pas la panacée et le seul terreau d'un avenir idyllique, c'est par là que passe le changement de paradigme qui doit redonner au peuple la maitrise de son destin, c'est avec le Front de Gauche que le peuple peut aujourd'hui REpredre le pouvoir.
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