mardi 17 janvier 2017

La République a des adjectifs...

Le fondateur de Mediapart peut déranger, irriter, agacer... Mais au moins il pense ; et il éclaire singulièrement la vanité des ambitions de beaucoup des saltimbanques sans abri tant qu'ils n'ont pas leur ticket pour l'Elysée.


"Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant les chiffres." Abbé Pierre.

Les adjectifs de la République sont dans le préambule de la constitution et courent dans tous ses articles. Et la constitution de notre République n'est pas un paravent pour les des puissants qui règlent l'addition de leurs fredaines sur la misère des autres.

Aujourd'hui, les "autres" devraient avoir envie de troquer leur camisole de sujet pour un costume de citoyen ; mais au regard de la fréquentation des meetings de Macron, ce n'est pas gagné ! Fidèles à droite, fidèles à gauche, et le curé d'allée centrale alimente la croyance, en bon thuriféraire des banquiers. 

Une liste d'innocences en mal de confessions :
Affaire de l'hippodrome de Compiègne
Affaire de la succession de Daniel Wildenstein
Affaire du Carlton de Lille
Affaire du financement occulte du Parti républicain
Affaire du tramway de Bordeaux
Affaire Guérini
Affaire Karachi
Affaire Sylvie Andrieux
Affaire Takkieddine
Affaire Total
Affaire Woerth-Bettencourt
Affaire Sarkozy-Kadhafi
Affaire Cahuzac
Affaire Bygmalion 
Affaire Tapie-Lagarde
Affaire des sondages de l'Élysée (présidence de Nicolas Sarkozy)
...




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