Le Premier a sa belle histoire enracinée dans la lutte ouvrière pour le progrès social...
La semaine suivante, c'est au tour du 8 mai de faire résonner aux oreilles républicaine la belle et douloureuse histoire de la reconquête de la liberté face à la peste brune...
Deux célébrations laïque qui, au hasard du calendrier invitent cette année à prendre une petite respiration avec deux "ponts consécutifs. Et comble du scandale pour la bien-pensance médiatico-patronale ces galeux d'ouvriers s'offrent deux fois quatre jours de liberté consécutifs en ne posant que deux jours de congé !
Comment voulez-vous que la France s'en sorte avec ces pertes considérables chiffrées en millions d'euros et en pourcentage de PIB infligées à l'économie ?
Décidément ils ne reculent devant rien, tous ces cardinaux du capital, évêques de la mondialisation, ou grands prêtres de l'austérité. Jusqu'au plus insignifiant des thuriféraires qui se prend pour le pape sur un plateau de journal télévisé pour fustiger ces privilèges indécents des travailleurs bénéficiant de quelques jours fériés.
Tous ces petits enfants de chœur servant la messe libérale s'inquiètent-ils de la même façon des effets délétères sur la santé économique du pays de quelques autres jours fériés, d'un jour de Noël, de la Toussaint, du jeudi de l'Ascension, ou des lundis de Pâques et de la Pentecôte ?
Tous ces petits enfants de chœur servant la messe au pouvoir et au pouvoir de l'argent pour mieux justifier les tours de vis austéritaires s'inquiètent-ils des jours chômés des millions de chômeurs, pour lesquels les jours fériés ont le seul avantage de les indifférencier un peu des travailleurs libérés de leur activité professionnelle un court moment.
Tous ces petits enfants de chœur servant la messe au pouvoir et au pouvoir de l'argent pour mieux justifier les tours de vis austéritaires s'inquiètent-ils des jours chômés des millions de chômeurs, et du coût faramineux pour la société de l'exploitation excessive de ceux qui travaillent et de l'entretien des autres dans l'inactivité ?
Le changement, c'est pour quand ?
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