samedi 23 septembre 2017

épée de Damoclès ?

L'humanité serait-elle aujourd'hui condamnée à l’anéantissement sous les coups mortels des fous qui gouvernent aux destinées du monde ?
Les américains des Etats Unis se sont donné le plus dangereux président de toute leur histoire...
Les russes ne sont pas en reste ; et combien d'autres états du monde sur tous les continents ? Sans oublier le dirigeant nord-coréen qui joue avec le feu !
Depuis trois quarts de siècles notre planète a connu une soi-disant paix en guerre permanente. Quand un foyer faiblit un autre est ravivé ; et pour le plus grand malheur du monde la gouvernance d'inspiration capitaliste maintenant mondialisée ajoute la pression de la misère et de la faim au triste cortège des victimes des guerres.
Le spectacle affligeant des migrations de la misère et de la peur en témoigne chaque jour : le monde est aujourd'hui dans l'incapacité de faire le bonheur de ses peuples. Tout au plus quelques élites accélèrent le processus à l'abri de privilèges dont ils renforcent les défenses chaque jour un peu plus en mouillant leur ciment à la sueur, au sang et aux larmes des plus faibles d'ici ou d'ailleurs.
Dans un espace où la communication trahit la justesse de l'information, où l'endoctrinement imbécile ruine toute prise de conscience et libre arbitre, où les dérives autoritaires minent les démocraties, rien n'est plus dangereux que le passage de la fiction des violences quotidiennement affichées sur petit écran à l'affliction d'une réalité mortifère subie, supportée, engendrée... Fatalité ?
Non bien sûr. 

La lutte d'aujourd'hui n'est pas la finale de la chanson, l'aboutissement naturel des temps d'exploitation, l'issue à forcer pour sortir de l'impasse libérale, elle est primordiale, fondamentale en ce qu'elle établit les fondations d'une véritable perspective de changement progressiste dans tous les domaines minés par la crise sociale, économique, politique et morale,

La défense de la paix à l'échelle de la planète est indissociable de celle d'une démocratie citoyenne aux racines du pays.
Les totalitarismes nazis et fascistes avaient ruiné le bel idéal des nations du mondes unies dans la SDN... Il serait criminel de laisser faire ou pire, d'accompagner la même calamité qui voit aujourd'hui l'ONU asphyxiée par les ambitions impérialistes des Etats-Unis et de ses petits valets de l'OTAN.

Les mouvements, les rassemblements peuvent être décevants dans leur ampleur... qu'importe ! L'important est que la chose existe et c'est dans son existence que se conçoivent l'idée et l'envie, les matériaux et l'architecture du changement progressiste et du sursaut salutaire qu'il exige..

C'est bien pour jardiner ce changement qu'il va falloir retourner dans la rue le 28 septembre prochain, le 10 octobre ensuite, et bien d'autres fois encore !


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